Deux mille cinq, c'est un nouveau millésime, un de ceux qui sonne impair. Que tout se passe pour le mieux pour chacun d'entre nous.

Sur les blogs fleurissent ces messages convenus, répétition des conventions sociales du "réel", le virtuel se crée les siens. Pour le moment, la convention, c'est de faire apparaître une partie de soi, plus intime, comme avec un masque, pour lui laisser une part plus importante que celle qu'elle pourrait occupée dans la vie réelle. Deux mille cinq sera peut-être l'année zéro de l'explosion du phénomène blog, avec des dimensions sociales de proximité virtuelles à inventer. A vos souhaits !

Bonne année.

P.S. : et une nouvelle peau pour 2005, kubrick !