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La rumeur du moud, des muets de naissance, c'est arrivé, la tech et les sciences, la politique et l'économie
2024-03-19T13:43:13+00:00
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2024-03-19T13:43:13+00:00
Le goudron - Brigitte Fontaine - Weborg
2018-08-13T22:29:30+00:00
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Tardigrade - Weborg
2017-07-18T09:09:11+00:00
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<p><a href="http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1045744/tardigrade-survie-asteroide-soleil">Durs à cuire</a></p>
Erections piège à cons - Weborg
2017-04-24T21:40:13+00:00
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Function - Weborg
2015-07-12T20:13:56+00:00
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Merci Ibrahim ! - Weborg
2015-06-22T00:14:38+00:00
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OCCUPY TOGETHER - Weborg
2011-11-14T20:01:32+00:00
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<p><a href="http://www.nytimes.com/2011/10/29/opinion/what-the-costumes-reveal.html?_r=2&ref=joenocera">The Opinion pages NY Times</a></p>
OCCUPY TOGETHER - Weborg
2011-11-14T20:00:04+00:00
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<p><a href="http://www.article11.info/?Ken-Knabb-Il-ne-s-agit-pas-d-une">Article 11</p>
OCCUPY TOGETHER - Weborg
2011-11-12T20:39:58+00:00
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<p><a href="http://www.acrimed.org/article3709.html">Acrimed</a></p>
Ich bin ein Tunisian - Weborg
2011-10-26T23:21:14+00:00
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http://weborg.free.fr/dotclear/index.php?2011/01/31/439-ich-bin-ein-tunisian#c8458
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<p>Chez Caroline Fourest : <a href="http://carolinefourest.wordpress.com/2011/10/24/ich-bin-ein-tunisian/">Ich bien ein Tusinisian</a> (noch einmal) </p>
OCCUPY TOGETHER - Mao
2011-10-16T20:48:48+00:00
2011-10-16T20:48:48+00:00
http://weborg.free.fr/dotclear/index.php?2011/10/12/441-occupy-together#c8456
Mao
<p>"La Chine veut s'assurer que l'Europe connaît l'ampleur du trou et qu'il ne va pas se creuser, avant de commencer à le remplir"</p>
Souricide - Weborg
2009-02-23T13:45:21+00:00
2009-02-23T13:45:21+00:00
http://weborg.free.fr/dotclear/index.php?2007/09/07/371-souricide#c8455
Weborg
<p>Passeports biométriques : quelles règles pour les photos d’identité ?
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(17/02/2009)
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Les photographies d’identité produites doivent répondre à certaines caractéristiques au niveau du format et de la qualité mais aussi au niveau du fond, du contraste, de la luminosité et des détails du portrait. Pour les demandes de passeport, le demandeur doit fournir 2 photographies d’identité répondant à ces critères.
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La prise de vue doit être inférieure à 6 mois et ressemblante au jour du dépôt de la demande de passeport. La photo doit mesurer 35 mm de large sur 45 mm de haut. La taille du visage doit être de 32 à 36 mm, du bas du menton au sommet du crâne (hors chevelure). La photo doit être nette, sans pliure, ni traces. La photo ne doit présenter ni surexposition ni sous-exposition. Elle doit être correctement contrastée, sans ombre portée sur le visage ou en arrière-plan. Une photo en couleurs est fortement recommandée. Le fond doit être uni, de couleur claire (bleu clair, gris clair). Le blanc est interdit. La tête doit être nue, les couvre-chefs sont interdits. Le sujet doit présenter son visage face à l’objectif. La tête doit être droite. Le sujet doit fixer l’objectif. Il doit adopter une expression neutre et avoir la bouche fermée. Le visage doit être dégagé. Les yeux doivent être parfaitement visibles et ouverts. Il ne doit pas y avoir de reflets sur les lunettes. Les montures épaisses sont interdites. La monture ne doit pas masquer les yeux. Les verres teintés (ou colorés) sont interdits.
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<p>C’est ce que précise un arrêté publié au Journal officiel du vendredi 13 février 2009. Il fait suite à l’article 104 de la loi de finances rectificative pour 2008.</p>
<p>http://www.service-public.fr/actualites/001132.html</p>
Liberté de la presse, en France - Weborg
2008-11-30T18:46:08+00:00
2008-11-30T18:46:08+00:00
http://weborg.free.fr/dotclear/index.php?2008/11/30/393-liberte-de-la-presse-en-france#c8453
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Normalisation TIC UIT - Weborg
2008-11-01T00:02:59+00:00
2008-11-01T00:02:59+00:00
http://weborg.free.fr/dotclear/index.php?2008/10/26/387-normalisation-tic-uit#c8452
Weborg
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Crochet Rouge - Weborg
2007-09-11T21:25:45+00:00
2007-09-11T21:25:45+00:00
http://weborg.free.fr/dotclear/index.php?2007/08/29/369-crochet-rouge#c8451
Weborg
<p>Quand l'Amérique rogne sur les libertés individuelles [ 10/09/07 ]</p>
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D'ici peu, le ministère américain de la Sécurité intérieure proposera aux autorités policières locales un service inédit : l'accès aux images de pointe prises par les satellites espions du gouvernement. Depuis la guerre froide, ces satellites filment le globe pour l'armée américaine. Avec les attentats du 11 Septembre, leur mission a été élargie à la surveillance des réseaux terroristes internationaux, en particulier ceux liés à Al-Qaida. Ils sont capables de suivre avec précision les déplacements humains, même à l'intérieur de bâtiments épais. Jusqu'à aujourd'hui, ces images secrètes étaient réservées aux militaires et aux agences de sécurité fédérales. Mais l'administration Bush a convaincu le Congrès, pourtant à majorité démocrate, d'ouvrir l'accès de ces images à toutes les forces de police du pays. Dès le mois d'octobre, n'importe quel commissariat de quartier pourra utiliser ces images pour surveiller un lieu où opèrent des trafiquants de drogue, pour filmer la finale du SuperBowl ou une avenue bondée de touristes... Aucune législation nouvelle n'encadre l'usage de cette nouvelle ressource, particulièrement inquisitrice - contrairement aux écoutes téléphoniques ou celles pratiquées sur Internet par la National Security Agency (NSA).
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La Maison-Blanche a aussi obtenu du Congrès qu'il légalise (après coup, murmurent les spécialistes) les pratiques de la plus puissante agence de sécurité américaine lorsqu'elle intercepte sans mandat d'un juge les communications entre l'étranger et le sol américain. Jusqu'à présent, la loi prévoyait que la NSA avait le champ libre pour le faire lorsque les communications étaient échangées entre deux points situés à l'extérieur du territoire américain. Lorsque celles-ci impliquent un expéditeur ou un destinataire local, et plus encore si la communication est intra-américaine, la NSA était censée avoir besoin d'un mandat délivré par une cour anti-terroriste spéciale et secrète. Mais c'était encore trop pour l'agence, qui peut désormais agir à sa guise, quitte à en référer après coup à cette cour.
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La nouvelle loi, votée en catastrophe avant la fin de la session parlementaire début août, va même plus loin. En donnant à la NSA un pouvoir de surveillance accru sur les citoyens américains, elle lui donne aussi de nouvelles armes pour obliger les compagnies américaines de télécommunications et les grands opérateurs Internet comme Google ou Microsoft à lui fournir des enregistrements suspects. En retour, cette loi protège ces mêmes compagnies contre d'éventuelles plaintes d'abonnés mécontents du peu de cas fait à leur vie privée. Donnant-donnant.
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Ces possibilités nouvelles accordées aux forces de police et aux agences de sécurité vont dans le sens d'une société qui surveille de plus en plus ses citoyens. Un mouvement dont on voit mal où il pourrait s'arrêter, dans la mesure où peu de voix s'y opposent. Certes, quelques associations protestent pour la forme, mais sans trouver de relais dans l'opinion ou les médias. Tout se passe comme si la société américaine était prête à accepter cette surveillance toujours plus étroite, si l'on continue de la protéger des attentats.
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Le deal est d'autant plus facile à accepter que cette surveillance s'opère de façon « soft », sans contrôles d'identité systématiques ni présence de forces armées agressives dans les villes. Elle privilégie les technologies sécuritaires comme cette frontière virtuelle entre les Etats-Unis et le Mexique. Le programme SBInet, piloté par IBM, coûtera plusieurs milliards de dollars pour déployer, sur une bande de plusieurs milliers de kilomètres des avions espions sans pilote, des batteries de caméras à infrarouges reliées à de puissants ordinateurs et autres nanocapteurs enfouis dans le sol. Afin de tout savoir sur chaque mouvement humain, légal ou non.
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Cette surveillance devient de plus en plus globale. Depuis 2003, le ministère de la Sécurité intérieure a fourni 23 milliards de dollars de subventions aux administrations locales pour mieux lutter contre le terrorisme. Beaucoup de villes en ont profité pour installer des caméras de surveillance partout où c'était possible, désormais à la disposition de la police pour la délinquance de droit commun. Dans certains cas, comme à Chicago, où une expérience pilote a déjà eu lieu, ces caméras peuvent être complétées par des micros ultrasensibles capables d'enregistrer plusieurs conversations simultanément dans un rayon de plusieurs centaines de mètres. Sur la route, les feux de signalisation aux carrefours, même dans les plus petites agglomérations, sont hérissés de caméras. Leur installation a dans certains cas été financée par le fabricant en échange d'un pourcentage sur le montant des amendes qu'elles permettent au passage de récolter.
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Parfois, le gouvernement semble reculer. Mais la reculade relève du trompe-l'oeil. Il y a quatre ans, le Sénat, alors républicain, avait mis brutalement fin à un programme de recherche lancé par le laboratoire de recherche du Pentagone. Le Total Information Awaress (TIA), à l'initiative de l'administration Bush, prévoyait de relier toutes les bases de données existantes comportant des informations personnelles, de source policière ou commerciale. Avec le TIA, il aurait été possible de suivre à la trace n'importe qui, aussi bien dans ses déplacements physiques qu'à travers ses achats et son mode de vie. Si le TIA a fait peur aux parlementaires qui l'ont rendu illégal, l'administration n'a pas renoncé. La plupart des technologies informatiques qui le composaient ont été dispersées auprès des différentes agences de sécurité et fonctionnent sous d'autres noms.
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Mais finalement, c'est encore dans les plus petits actes de la vie quotidienne que l'on mesure combien la population américaine accepte sans barguigner ces empiètements successifs sur sa vie privée. Même le baigneur californien obtempère sans difficulté lorsque l'employé de la piscine municipale lui demande, avant de payer, d'indiquer sur un registre son nom, son adresse, son numéro de téléphone et l'heure de son arrivée. Intel n'en demande pas tant aux visiteurs de son siège dans la Silicon Valley !</p>
<p>MICHEL KTITAREFF est correspondant des <a href="http://www.lesechos.fr/info/analyses/4619699.htm">« Echos »</a> à Palo Alto.</p>
BZZZzzz - Weborg
2007-09-03T23:48:34+00:00
2007-09-03T23:48:34+00:00
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Weborg
<p>Des centaines de races d'animaux d'élevage menacées d'extinction 2007-09-03 15:28:17
GENÈVE (AFP)
© AFP
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Une race d'animaux d'élevage disparaît chaque mois dans le monde, s'alarme dans un rapport l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), qui appelle à préserver ce capital naturel irremplaçable dans des banques de gènes.
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Les espèces africaines, asiatiques et latino-américaines sont les plus menacées, selon le rapport de la FAO présenté lundi à Interlaken (Suisse) à l'ouverture de la Première conférence internationale sur les ressources zoogénétiques.
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"Des races irremplaçables disparaissent à un rythme alarmant", a averti le Dr Carlos Seré, Directeur général de l'Institut international de recherche sur le cheptel (ILRI), basé à Nairobi.
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Les espèces des pays en voie de développement sont pourtant essentielles pour leur adaptation aux conditions climatiques et sanitaires difficiles de leur environnement, ont relevé les experts, réunis en Suisse jusqu'à vendredi.
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L'enjeu est de taille puisque près de 70 % des races de bétail existant encore dans le monde se trouvent dans les pays en développement, selon l'ILRI, qui dispose d'une base de données sur 669 races bovines, ovines, caprines, porcines et de volailles d'Afrique et d'Asie. La FAO estime à environ 7.000 le nombre total de races d'animaux d'élevage dans le monde, a indiqué le Dr Seré à l'AFP.
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Le cheptel des pays industrialisés a "une base génétique très étroite et hautement spécialisée" puisque 90 % du bétail provient de seulement six races très rigoureusement définies, explique le Dr Seré. Des politiques volontaristes des Etats et de nombreux éleveurs passionnés ont permis cependant de conserver la plupart des races autochtones d'Europe et d'Amérique du nord.
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Il en va tout autrement dans les pays en voie de développement où de nombreux petits exploitants agricoles ont abandonné ces dernières années l'élevage des animaux traditionnels au profit des races à rendement plus élevé importées d'Europe et des États-Unis.
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La vache noire et blanche Holstein Frisonne à haute production laitière est ainsi aujourd'hui présente dans 128 pays, et dans toutes les régions du monde. Les poules pondeuses White Leghorn, et les porcs Large White à croissance rapide sont également largement répandus.
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En Ouganda, la Holstein Frisonne supplante rapidement les célèbres vaches Ankole aux cornes immenses et gracieuses. Pourtant, lors d'une sécheresse récente, le bétail traditionnel a été capable de parcourir de longues distances jusqu'à des points d'eau éloignés, tandis que les éleveurs qui avaient fait le choix de races importées ont perdu tout leur troupeau.
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Autre exemple flagrant d'appauvrissement de la diversité génétique du cheptel et des basses-cours: dans le nord du Vietnam, la population de truies était composée à 72 % de races locales en 1994 mais huit ans plus tard, ce pourcentage avait chuté à 26 % à peine. Cinq des quatorze races porcines locales sont aujourd'hui vulnérables, deux en situation critique, et trois menacées d'extinction.
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Un milliard d'habitants de la planète travaille aujourd'hui dans l'élevage, et 70 % des populations rurales pauvres en dépendent largement pour leur subsistance, avertissent les experts.
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Les scientifiques réunis à Interlaken préconisent d'encourager, y compris financièrement, l'élevage des races autochtones, et prônent l'établissement rapide de banques de gènes afin de conserver le sperme et les ovaires d'animaux menacés d'extinction.
© AFP.</p>
Une France de propriétaires ? - Weborg
2007-08-28T20:28:29+00:00
2007-08-28T20:28:29+00:00
http://weborg.free.fr/dotclear/index.php?2007/07/01/359-une-france-de-proprietaires#c8449
Weborg
<p>Tous propriétaires... [ 23/08/07 ] -<a href="http://www.lesechos.fr/info/analyses/4613169.htm">Les chroniques de Favilla</a></p>
<p>Sur la voie honorable, mais parfois escarpée, des promesses tenues, Nicolas Sarkozy vient d'essuyer un revers circonstanciel sur son projet de déduction fiscale des intérêts d'emprunts immobiliers contractés avant le 6 mai 2007. Son élan réformateur l'avait fait passer outre aux représentations de son ministre des comptes. Avocat, il savait pourtant qu'aux termes des principes généraux du droit les plus sacrés, la loi ne dispose que pour l'avenir. On le connaît suffisamment pour supposer que, le sachant, il avait néanmoins parié sur la force persuasive de son slogan d'une « France de propriétaires ». Il mérite qu'on s'y arrête.</p>
<p>A la base est la constatation que le besoin de propriété est au coeur de la culture nationale. Historiquement, c'est en elle que réside la principale garantie du citoyen contre les abus de tout pouvoir. En affirmant ses droits fondamentaux, la Déclaration des droits de l'homme de 1789 cite - dans l'ordre - « la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression ». Les soviétologues savent aussi qu'il était alors très mal vu, à Moscou, pour un cadre du parti, de préférer une datcha en toute propriété à celle mise à sa disposition par l'organisation, et qui pouvait lui être retirée. En France, les parvenus du XIXe siècle inscrivaient « propriétaire » sur leur carte de visite comme un titre de noblesse (voir Labiche et Feydeau). Et les socialistes français les plus idéologues ne dénonçaient la propriété capitaliste qu'en contournant prudemment celle de la maison. Parlant naguère du marché du logement, les spécialistes disaient que la moitié des Français étaient propriétaires, et que l'autre moitié rêvaient de le devenir. Ils sont aujourd'hui près de 57 %, et le président veut les aider à poursuivre. Ils y ont quelques bonnes raisons. Naturellement soucieux de l'avenir, ils savent qu'à la retraite, la propriété de leur logement leur assure un minimum de sécurité. Leur propension à l'épargne de précaution, qui traduit le même souci, s'exprime en priorité dans ce placement. Ils diffèrent en cela des Allemands, plutôt locataires ; et des Anglo-Saxons qui, eux, achètent de l'immobilier sans épargne avec les risques que l'on sait (l'actuelle crise du « subprime »). Plus d'un économiste juge que cette face des « sarkonomics » jure un peu avec les mots d'ordre favorables au dynamisme économique, à l'entreprise et au marché. Des socialistes n'osent pas dire que cette France de propriétaires annonce une France de droite, de peur à la fois de déplaire aux gens ou de paraître une fois de plus prisonniers des schémas anciens. A l'écart des théories, le pragmatisme inspire de compter sur l'esprit national de précaution pour éviter le surendettement à l'américaine, et de satisfaire le besoin de projet qui est d'abord, pour les Français, immobilier. Faute de réformer les peuples, autant les aider à s'exprimer !</p>
Flation - Weborg
2007-08-21T23:34:18+00:00
2007-08-21T23:34:18+00:00
http://weborg.free.fr/dotclear/index.php?2007/08/15/364-flation#c8448
Weborg
<p>Qui paie ?</p>
<p>Des millions de familles aux Etats-Unis risquent de voir leur logement saisi<br >
2007-08-21 20:21:39<br />
NEW YORK (AFP)</p>
<p>© AFP</p>
<p>Submergés par la hausse du taux de leurs crédits immobiliers, des centaines de milliers de familles américaines voient leur logement saisi par les banques, reflétant le drame humain derrière la crise financière.
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Cette marée de saisies a doublé en juillet et menace jusqu'à 3 millions de personnes, selon un sénateur américain.
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Les procédures de saisie ont ainsi atteint 180.000 environ en juillet, deux fois plus qu'en juillet 2006, et dépassent la barre du million depuis le début de l'année, soit 60% de plus qu'il y an un an, a indiqué mardi le site spécialisé RealtyTrac.
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Entre janvier et juillet, les procédures de saisie ont concerné environ 1 foyer sur 112 aux Etats-Unis.
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La moitié des avis de saisies de juillet visaient 5 Etats américains: la Californie, la Floride, le Michigan, l'Ohio et la Géorgie.
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<p>
En Californie, on recense depuis janvier une procédure de saisie pour 57 foyers. Le Nevada, qui avec le développement effréné de l'agglomération de Las Vegas a connu un extraordinaire boom immobilier depuis trois ans, affiche un record de 1 procédure pour 33 foyers sur les sept premiers mois de 2007.
</p>
<p>
En juillet, la ville de Détroit affiche le record des saisies urbaines, avec une procédure pour 97 foyers.
</p>
<p>
Une étude du Woodstock Institute sur la ville de Chicago montre aussi combien dans cette ville la carte des saisies recoupe celle des minorités ethniques.
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Le président de RealtyTrac James Saccacio avait pronostiqué en juillet qu'il y aurait plus de 2 millions de procédures de saisies en 2007.
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Plus pessimiste encore, le sénateur américain Christopher Dodd a averti mardi qu'"un à trois millions de personnes pourraient perdre leur logement", submergés par l'envolée de leurs mensualités.
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<p>
"A cause de certains types de crédits accordés entre 2004 et 2006, les modifications (d'intérêts, ndlr) peuvent faire passer les mensualités de 400 dollars à plus de 1.500 dollars", a ajouté le sénateur démocrate du Connecticut.
</p>
<p>
"Nous sommes au plus haut niveau des saisies de logements depuis 37 ans. Donc je demande instamment au gouvernement de faire tout le nécessaire pour que les gens puisse garder leur logement", a-t-il lancé lors d'une conférence de presse à Washington.
</p>
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Autres victimes, les employés des sociétés de crédits hypothécaires, qui après avoir recruté à tour de bras doivent désormais licencier. Selon le site internet spécialisé mortgagedaily.com, 84 sociétés de crédits hypothécaires ont fait faillite ou fermé depuis le début de l'année.
</p>
<p>
Les crédits adossés sur le prix des logements sont laminés par la chute des prix immobiliers: une vente aux enchère de maisons dans la région de San Diego samedi a montré que les meilleures offres étaient inférieures de 67% à leur prix de vente original, généralement datant de 2004 ou 2005.
</p>
<p>
Un nouveau type de métier immobilier se développe à grande vitesse aux Etats-Unis autour des biens saisis.
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<p>
Quantité d'agences immobilières vantent ainsi sur internet leur capacité à acheter des biens en urgence -- pour les propriétaires au bord de la faillite -- ou proposent à la vente de très bonnes affaires: les logements saisis.
© AFP.</p>
090807 - Weborg
2007-08-12T18:17:47+00:00
2007-08-12T18:17:47+00:00
http://weborg.free.fr/dotclear/index.php?2007/08/09/362-090807#c8447
Weborg
<p>La <a href="http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?news=4498417">Chine</a> affirme son attachement à ses actifs en dollars américains
</p>
<p>
La Chine a affirmé dimanche qu'elle tenait fortement à ses actifs en dollars américains, dans un commentaire destiné à dissiper les doutes sur une éventuelle intention de Pékin de se débarrasser d'une partie de ses réserves en dollars.
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<p>
"Les actifs en dollars, y compris les bons du Trésor américain, sont une composante importante des investissements chinois en devises, et cela en raison de la place importante qu'occupe le dollar dans le système monétaire international ainsi que de la capacité et de la liquidité du système financier américain", a déclaré un responsable de la Banque centrale de Chine à l'agence officielle Chine Nouvelle.
</p>
<p>
"La Chine est un investisseur responsable sur les marchés financiers mondiaux. Dans la gestion de nos réserves en devises, nous recherchons la stabilité, la liquidité et le retour sur investissement et nous avons une politique stratégique à long terme" à ce sujet, a dit ce responsable, sous couvert d'anonymat.
</p>
<p>
Réagissant à des propos d'économistes chinois cités par la presse britannique, George W. Bush avait mis en garde mercredi dernier la Chine contre toute vente de titres américains qui, selon lui, affecterait davantage Pékin que Washington.
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<p>
La Chine est le deuxième détenteur de bons du Trésor derrière le Japon. En mai, elle détenait 407,4 milliards de dollars de titres, selon le Trésor américain.
</p>
<p>
Jeudi déjà, un économiste chinois d'un institut officiel avait affirmé que la Chine n'envisageait pas de vendre ses actifs en dollars et ne le ferait pas, à moins de problème bilatéral grave ou de bouleversement dans l'économie.
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<p>
Le responsable de la Banque centrale a par ailleurs souligné que Pékin accordait beaucoup d'importance à l'existence de relations économiques et commerciales stables et mutuellement bénéfiques avec les Etats-Unis.
</p>
<p>
"Les relations économiques et commerciales sino-américaines sont étroitement liées. Cela a eu un rôle stabilisateur non seulement pour les deux pays mais également pour l'économie mondiale".
</p>
<p>
"Depuis toujours, nous accordons un grand intérêt à des liens sino-américains harmonieux", a-t-il dit.
</p>
<p>
Au total, les réserves chinoises en dollars américains atteignent plus de 1.000 milliards.</p>
090807 - Weborg
2007-08-11T10:25:51+00:00
2007-08-11T10:25:51+00:00
http://weborg.free.fr/dotclear/index.php?2007/08/09/362-090807#c8446
Weborg
<p><a href="http://carnetsdenuit.typepad.com/carnets_de_nuit/2007/08/160000-milliard.html">Finances ?</a></p>
090807 - Weborg
2007-08-11T10:07:25+00:00
2007-08-11T10:07:25+00:00
http://weborg.free.fr/dotclear/index.php?2007/08/09/362-090807#c8445
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<p><a href="http://www.services-nego.com/ACTUALITES/article.php?idArticle=95">Avis d'un notaire</a></p>